Par Fabrice Lukamba
L’organe de la loi a estimé qu’il n’y a pas de preuves pour condamner l’ancien directeur de Cabinet du Président de la République. C’est ce qu’a affirmé ce jeudi la défense de Vital Kamerhe
Vital Kamerhe, rappelons-le, avait été accusé d’avoir détourné les fonds affectés au programme dit de « 100 jours ». Il avait été d’abord condamné en première instance à vingt (20) ans des travaux forcés, avant de voir sa peine être réduite à 13 ans des travaux forcés par la Cour d’appel.
Durant tout le procès, le numéro 1 du parti politique Union pour la nation congolaise (UNC) avait toujours calmé son innocence.